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posté le 02-10-2023 à 17:42:07

poeme automne

Matin d'Octobre

C'est l'heure exquise et matinale Que rougit un soleil soudain. A travers la brume automnale Tombent les feuilles du jardin. Leur chute est lente. Ou peut les suivre Du regard en reconnaissant Le chêne à sa feuille de cuivre, L'érable à sa feuille de sang. Les dernières, les plus rouillées, Tombent des branches dépouillées : Mais ce n'est pas l'hiver encor. Une blonde lumière arrose La nature, et, dans l'air tout rose, On croirait qu'il neige de l'or.

 

 

 


Commentaires

 

1. gladys-lemire  le 02-10-2023 à 17:43:55  (site)


Matin d'Octobre

C'est l'heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.

Leur chute est lente. Ou peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre,
L'érable à sa feuille de sang.

Les dernières, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées :
Mais ce n'est pas l'hiver encor.

Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l'air tout rose,
On croirait qu'il neige de l'or.

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2. gladys-lemire  le 02-10-2023 à 17:47:49  (site)

Oktobermorgen

Es ist die exquisite und frühe Stunde
Dass eine plötzliche Sonne errötet.
Durch den Herbstnebel
Die Blätter des Gartens fallen.

Ihr Fall ist langsam. Oder kann ihnen folgen
Mit einem erkennenden Blick
Die Eiche mit ihrem Kupferblatt,
Der Ahorn hat sein Blutblatt.

Die letzten, die rostigsten,
Abgestreifte Äste fallen:
Aber es ist noch nicht Winter.

Ein hellblondes Wasser
Natur und in der rosigen Luft,
Man könnte meinen, es schneite Gold.

3. gladys-lemire  le 02-10-2023 à 18:11:36  (site)

Le blablatage, aussi appelé le racontage de vie ...
Aussi caqueter le sempiternel rien du bla bla
c'est tirer tout les draps a soit, et que l'autre prends froid et que l'on ne voit plus cacher par du blablatage futile vain et idiot et na aucun intérer ect ect ect .
Les gents comme un gouvernement se blablatise a cacher que les moutons deviens chèvre, et ne c'est plus qui dit la vérité et accepte sans refléchir
un coup je te vois un coup je te vois plus les memes prends tout la place c'est entre nous les égoistes du blablatage moi je moi je moi je AMEN
Les bien servie que par soit mème

4. francoise4  le 20-10-2023 à 09:23:40  (site)

bonne journée bisous

 
 
 
posté le 26-09-2023 à 14:38:05

L'automne

On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne,
C’est une branche, tout à coup,
Qui s’effeuille dans votre cou.

l’Automne

C’est un petit arbre tout rouge,
Un, d’une autre couleur encor,
Et puis, partout, ces feuilles d’or
Qui tombent sans que rien ne bouge.

l’Automne

Nous aimons bien cette saison,
Mais la nuit si tôt va descendre !
Retournons vite à la maison
Rôtir nos marrons dans la cendre.

 

 

 

 

 


Commentaires

 

1. gladys-lemire  le 26-09-2023 à 14:39:34  (site)

On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne,
C’est une branche, tout à coup,
Qui s’effeuille dans votre cou.

l'Automne

C’est un petit arbre tout rouge,
Un, d’une autre couleur encor,
Et puis, partout, ces feuilles d’or
Qui tombent sans que rien ne bouge.

l'Automne

Nous aimons bien cette saison,
Mais la nuit si tôt va descendre !
Retournons vite à la maison
Rôtir nos marrons dans la cendre.smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591

2. douceurs  le 26-09-2023 à 14:58:02  (site)

Vite nous régaler de soupe au potimarron...
J'aime beaucoup ton texte sur l'automne...bisous et bon mardi bisous

 
 
 
posté le 18-09-2023 à 22:13:08

the family bleu

 


Commentaires

 

1. gladys-lemire  le 18-09-2023 à 22:16:05  (site)

Je t’aime plus que ma vie, plus que tout au monde ; je t’adore, mon doux bien-aimé, de tout mon cœur. Toutes mes pensées et tous mes désirs sont tournés vers toi. Tu es plus que mon bonheur, tu es toute ma vie. Plus tu es heureux, plus je le suis ; ton bonheur fait mon bonheur.smiley_id2354644smiley_id2354644smiley_id2354644smiley_id2354644smiley_id2354644

2. douceurs  le 26-09-2023 à 14:58:28  (site)

C'est beau l'amour

3. francoise4  le 20-11-2023 à 15:46:12  (site)

bonne journée bisous

 
 
 
posté le 17-09-2023 à 12:45:43

Octobre

Octobre

Le vent tourbillonnant, qui rabat les volets,
Là-bas tord la forêt comme une chevelure.
Des troncs entrechoqués monte un puissant murmure
Pareil au bruit des mers, rouleuses de galets.

Octobre

L’Automne qui descend les collines voilées
Fait, sous ses pas profonds, tressaillir notre coeur ;
Et voici que s’afflige avec plus de ferveur
Le tendre désespoir des roses envolées.

Octobre

Le vol des guêpes d’or qui vibrait sans repos
S’est tu ; le pêne grince à la grille rouillée ;
La tonnelle grelotte et la terre est mouillée,
Et le linge blanc claque, éperdu, dans l’enclos.

Octobre

Le jardin nu sourit comme une face aimée
Qui vous dit longuement adieu, quand la mort vient ;
Seul, le son d’une enclume ou l’aboiement d’un chien
Monte, mélancolique, à la vitre fermée.

Octobre

 

 

 


Commentaires

 

1. gladys-lemire  le 17-09-2023 à 12:47:03  (site)

Octobre

Le vent tourbillonnant, qui rabat les volets,
Là-bas tord la forêt comme une chevelure.
Des troncs entrechoqués monte un puissant murmure
Pareil au bruit des mers, rouleuses de galets.

Octobre

L’Automne qui descend les collines voilées
Fait, sous ses pas profonds, tressaillir notre coeur ;
Et voici que s’afflige avec plus de ferveur
Le tendre désespoir des roses envolées.

Octobre

Le vol des guêpes d’or qui vibrait sans repos
S’est tu ; le pêne grince à la grille rouillée ;
La tonnelle grelotte et la terre est mouillée,
Et le linge blanc claque, éperdu, dans l’enclos.

Octobre

Le jardin nu sourit comme une face aimée
Qui vous dit longuement adieu, quand la mort vient ;
Seul, le son d’une enclume ou l’aboiement d’un chien
Monte, mélancolique, à la vitre fermée.

Octobresmiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591

2. gladys-lemire  le 17-09-2023 à 12:51:42  (site)


Der wirbelnde Wind, der die Fensterläden herunterzieht,
Da windet sich der Wald wie Haare.
Aus den aufeinanderprallenden Baumstämmen erklingt ein kraftvolles Murmeln
Wie das Rauschen des Meeres, rollende Kieselsteine.

Der Herbst zieht die verschleierten Hügel herab
Lässt unser Herz unter seinen tiefen Schritten erzittern;
Und jetzt trauert er mit noch größerer Inbrunst
Die zarte Verzweiflung verschwundener Rosen.

Der Flug der goldenen Wespen, der unruhig vibrierte
War leise; der Riegel knarrt am rostigen Tor;
Die Laube zittert und die Erde ist nass,
Und das weiße Leinen flattert hilflos im Gehege.

Der kahle Garten lächelt wie ein geliebtes Gesicht
Wer verabschiedet sich lange von dir, wenn der Tod kommt?
Allein das Geräusch eines Amboss oder das Bellen eines Hundes
Gehe melancholisch hinauf zum geschlossenen Fenster.smiley_id172963smiley_id172963smiley_id172963smiley_id172963smiley_id172963

3. douceurs  le 26-09-2023 à 14:59:06  (site)

Bon après-midi Gladys bisous

4. francoise4  le 20-10-2023 à 13:23:00  (site)

bonne journée bisous

5. francoise4  le 28-01-2024 à 13:46:03  (site)

bonne journée bisous ma belle

 
 
 
posté le 15-09-2023 à 17:15:28

le thé

Le thé

Miss Ellen, versez-moi le Thé
Dans la belle tasse chinoise,
Où des poissons d’or cherchent noise
Au monstre rose épouvanté.

Le thé

J’aime la folle cruauté
Des chimères qu’on apprivoise :
Miss Ellen, versez-moi le Thé
Dans la belle tasse chinoise.

Le thé

Là, sous un ciel rouge irrité,
Une dame fière et sournoise
Montre en ses longs yeux de turquoise
L’extase et la naïveté :
Miss Ellen, versez-moi le Thé.

Le thé

 

 

 


Commentaires

 

1. gladys-lemire  le 15-09-2023 à 17:17:00  (site)

Le thé

Miss Ellen, versez-moi le Thé
Dans la belle tasse chinoise,
Où des poissons d’or cherchent noise
Au monstre rose épouvanté.

Le thé

J’aime la folle cruauté
Des chimères qu’on apprivoise :
Miss Ellen, versez-moi le Thé
Dans la belle tasse chinoise.

Le thé

Là, sous un ciel rouge irrité,
Une dame fière et sournoise
Montre en ses longs yeux de turquoise
L’extase et la naïveté :
Miss Ellen, versez-moi le Thé.

Le thésmiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591

2. gladys-lemire  le 15-09-2023 à 17:23:35  (site)

Miss Ellen, gießen Sie mir etwas Tee ein
In der schönen chinesischen Tasse,
Wo Goldfische Ärger suchen
An das verängstigte rosa Monster.

Ich mag verrückte Grausamkeit
Chimären, die wir zähmen:
Miss Ellen, gießen Sie mir etwas Tee ein
In der schönen chinesischen Tasse.

Dort, unter einem wütenden roten Himmel,
Eine stolze und schlaue Dame
Zeigen Sie es in ihren langen türkisfarbenen Augen
Ekstase und Naivität:
Miss Ellen, gießen Sie mir etwas Tee ein.

3. douceurs  le 16-09-2023 à 19:05:27  (site)

Une tasse de thé s'il te plaît...j'aime beaucoup cet article....bonne soirée bises Laure

4. gladys-lemire  le 17-09-2023 à 12:52:30  (site)


Der wirbelnde Wind, der die Fensterläden herunterzieht,
Da windet sich der Wald wie Haare.
Aus den aufeinanderprallenden Baumstämmen erklingt ein kraftvolles Murmeln
Wie das Rauschen des Meeres, rollende Kieselsteine.

Der Herbst zieht die verschleierten Hügel herab
Lässt unser Herz unter seinen tiefen Schritten erzittern;
Und jetzt trauert er mit noch größerer Inbrunst
Die zarte Verzweiflung verschwundener Rosen.

Der Flug der goldenen Wespen, der unruhig vibrierte
War leise; der Riegel knarrt am rostigen Tor;
Die Laube zittert und die Erde ist nass,
Und das weiße Leinen flattert hilflos im Gehege.

Der kahle Garten lächelt wie ein geliebtes Gesicht
Wer verabschiedet sich lange von dir, wenn der Tod kommt?
Allein das Geräusch eines Amboss oder das Bellen eines Hundes
Gehe melancholisch hinauf zum geschlossenen Fenster.

 
 
 
 

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