1. gladys-lemire le 02-05-2024 à 16:32:12 (site)
2. gladys-lemire le 02-05-2024 à 16:43:11 (site)
Parmi le vert
et la floraison
de toutes les plantes les plus belles
je flâne.
Je délibère ici
Je rêve par là.
L’heure s’arrête
ou plutôt s’étend pleinement,
se déplier et s’amplifier.
Ces tournoiements et ondulations soudaines
de brises d’été,
envoient tous les parfums
dans l’air chaud.
Contempler une feuille
ou le motif sur le mur
créés par des branches les plus près.
Ces têtes-là de fleurs dansantes
exposent délicatement
toute leur gloire.
Quelle simplicité à se perdre.
Et quelle aisance à respirer
doucement.
Et quelle aisance
à avoir des pensées profondes.
3. Lionel 71300 le 03-05-2024 à 08:34:20
Très bon week-end à toi gros bisous très jolie image
1. gladys-lemire le 01-05-2024 à 20:30:29 (site)
2. Lionel 71300 le 02-05-2024 à 09:02:04
Très bonne fin de semaine à toi gros bisous mon amie Gladys
1. gladys-lemire le 30-04-2024 à 21:23:08 (site)
2. lionel71300 le 01-05-2024 à 08:40:13 (site)
trés bon premier mai gladys gros bisou a toi
3. francoise4 le 01-05-2024 à 14:59:22 (site)
bonne journée bisous ma belle bon 1 mai
Commentaires
1. gladys-lemire le 03-05-2024 à 16:11:45 (site)
2. gladys-lemire le 03-05-2024 à 17:38:54 (site)
La rue était déserte et donnait sur les champs.
Quand j’allais voir l’été les beaux soleils couchants
Avec le rêve aimé qui partout m’accompagne,
Je la suivais toujours pour gagner la campagne,
Et j’avais remarqué que, dans une maison
Qui fait l’angle et qui tient, ainsi qu’une prison,
Fermée au vent du soir son étroite persienne,
Toujours à la même heure, une musicienne
Mystérieuse, et qui sans doute habitait là,
Jouait l’adagio de la sonate en la.
Le ciel se nuançait de vert tendre et de rose.
La rue était déserte ; et le flâneur morose
Et triste, comme sont souvent les amoureux,
Qui passait, l’oeil fixé sur les gazons poudreux,
Toujours à la même heure, avait pris l’habitude
D’entendre ce vieil air dans cette solitude.
3. gladys-lemire le 03-05-2024 à 17:49:48 (site)
The street was deserted and overlooked the fields.
When I went to see the beautiful setting suns in summer
With the beloved dream that accompanies me everywhere,
I always followed her to win the campaign,
And I noticed that, in a house
Who makes the corner and who holds, like a prison,
Closed to the evening wind its narrow shutter,
Always at the same time, a musician
Mysterious, and who undoubtedly lived there,
Played the adagio from the sonata in A.
The sky was tinged with soft green and pink.
The street was deserted; and the morose stroller
And sad, as lovers often are,
Who passed by, their eyes fixed on the powdery lawns,
Always at the same time, had gotten used to it
To hear this old tune in this solitude.
The piano sang dull, sweet, touching,
Filled with the painful memory of the absent
And quietly reproaching the old ecstasies.
And I guessed flowers in large vases,
Perfumes, a deep and funereal mirror,
A portrait of a man with a proud, magnetic and black eye,
Majestic folds in the dark hangings,
A silver lamp, discreet, under the shadows,
The old keyboard offering itself in its cold paleness,
And, in this emotional atmosphere, a pain
Blossomed with ineffable and physical charm
Silence, freshness, music.
The piano sang ever lower, lower.
Then, one evening in August, I didn't hear him.
4. Lionel 71300 le 04-05-2024 à 08:21:30
Très bon week-end à toi gros bisous mon amie Gladys
5. BernardNowman le 09-06-2024 à 16:19:43 (site)
magnifique mon amour (l)