VEF Blog

Titre du blog : Création
Auteur : Gladys1
Date de création : 01-09-2023
 
posté le 02-10-2023 à 17:42:07

poeme automne

Matin d'Octobre

C'est l'heure exquise et matinale Que rougit un soleil soudain. A travers la brume automnale Tombent les feuilles du jardin. Leur chute est lente. Ou peut les suivre Du regard en reconnaissant Le chêne à sa feuille de cuivre, L'érable à sa feuille de sang. Les dernières, les plus rouillées, Tombent des branches dépouillées : Mais ce n'est pas l'hiver encor. Une blonde lumière arrose La nature, et, dans l'air tout rose, On croirait qu'il neige de l'or.

 

 

 

Commentaires

francoise4 le 20-10-2023 à 09:23:40
bonne journée bisous
gladys-lemire le 02-10-2023 à 18:11:36
Le blablatage, aussi appelé le racontage de vie ...

Aussi caqueter le sempiternel rien du bla bla

c'est tirer tout les draps a soit, et que l'autre prends froid et que l'on ne voit plus cacher par du blablatage futile vain et idiot et na aucun intérer ect ect ect .

Les gents comme un gouvernement se blablatise a cacher que les moutons deviens chèvre, et ne c'est plus qui dit la vérité et accepte sans refléchir

un coup je te vois un coup je te vois plus les memes prends tout la place c'est entre nous les égoistes du blablatage moi je moi je moi je AMEN

Les bien servie que par soit mème
gladys-lemire le 02-10-2023 à 17:47:49
Oktobermorgen


Es ist die exquisite und frühe Stunde

Dass eine plötzliche Sonne errötet.

Durch den Herbstnebel

Die Blätter des Gartens fallen.


Ihr Fall ist langsam. Oder kann ihnen folgen

Mit einem erkennenden Blick

Die Eiche mit ihrem Kupferblatt,

Der Ahorn hat sein Blutblatt.


Die letzten, die rostigsten,

Abgestreifte Äste fallen:

Aber es ist noch nicht Winter.


Ein hellblondes Wasser

Natur und in der rosigen Luft,

Man könnte meinen, es schneite Gold.
gladys-lemire le 02-10-2023 à 17:43:55


Matin d'Octobre


C'est l'heure exquise et matinale

Que rougit un soleil soudain.

A travers la brume automnale

Tombent les feuilles du jardin.


Leur chute est lente. Ou peut les suivre

Du regard en reconnaissant

Le chêne à sa feuille de cuivre,

L'érable à sa feuille de sang.


Les dernières, les plus rouillées,

Tombent des branches dépouillées :

Mais ce n'est pas l'hiver encor.


Une blonde lumière arrose

La nature, et, dans l'air tout rose,

On croirait qu'il neige de l'or.



smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2027591smiley_id2354614