1. gladys-lemire le 19-07-2024 à 17:04:24 (site)
Monks who came to us from Gothic horizons,
But whose soul, but whose spirit dies tomorrow,
Who relegate love to your mystical gardens
To purify it of all human pride,
Firm, you advance along the roads of men,
Eyes hallucinated by the fires of hell,
From ancient times to this day,
In the ages of silver and centuries of iron,
Always with the same priestly and broad step.
Only you survive tall in the dead Christian world,
Alone without bending your back you carry the load
Like a royal corpse at the bottom of a golden coffin.
Monks – oh! seekers of sublime chimeras
Your cries of eternity cross the tombs,
Your mind is haunted by the glow of the peaks,
You are the bearers of crosses and torches
Around the divine ideal that we bury.
2. BernardNowman le 19-07-2024 à 17:28:48 (site)
magnifique article et poème mon amour (l)
my always d'amour (l)
dans tes jeux je vois l'aube éternelle
un éclat de soleil qui s'éteint jamais
ton amour (l) est une flamme qui brulle en moi
éclairant mon chemin vers l'infini
je t'aimeeeeeeeee (l) my always love d'amour (l) à moi
1. gladys-lemire le 18-07-2024 à 12:27:34 (site)
poéme
Et tout au fond du domaine loin,
Où sont celles que l’on aime bien,
La plus aimée me pleure, perdue
De ma mort aux semaines venue ;
La plus aimée de mon coeur s’attriste
Et plonge ainsi que des fleurs ses mains
Aux sources de ses yeux de chagrin,
La bien-aimée de mon coeur s’attriste.
Et tout au fond du domaine loin,
La bien-aimée a mis ses patins,
Se sentant dans le coeur de la glace,
Et loin vers moi s’efforce et se lasse ;
La bien-aimée accroche aux vitraux
De la chapelle d’où l’on voit loin,
Avec le pain, le sel et les anneaux,
Ma pauvre âme, elle, qui ne meurt point.
Et tout au fond du domaine loin,
La bien-aimée ne pleurera plus
Les beaux jours de fêtes révolus,
Aux bagues de famille à ses mains ;
La bien-aimée m’a vu comme un saint
Promettant un éternel dimanche
Aux âmes enfantines et blanches,
Et tout au fond d’un domaine loin.
2. BernardNowman le 18-07-2024 à 12:42:04 (site)
kome tjrsss c magnifique mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour (l) à moi
3. BernardNowman le 18-07-2024 à 13:12:32 (site)
ma ptite femme d'amour (l)
dans le tourbillon de ta présence je me perds et je trouve en toi le refuge de mes tourments chaque étreintes est un voyage vers l infini et chaque baiser et une caresse de l'ame
je t'aimeeeeee (l) my always love d'amour (l) à moi
édité le 18-07-2024 à 13:14:12
1. gladys-lemire le 16-07-2024 à 17:09:26 (site)
poeme
La nuit n’est plus pénible.
Enveloppée dans les nuages
elle se remet du jour et de la tristesse
dans son sillage, les orages blessent
se défient les oiseaux volages
sombres et volubiles.
Pourtant c’est bien là que l’on rêve
c’est dans cet air, que se jouent les meilleures trêves
qui apaisent et qui intègrent.
Les éclaircies ne se voient guères
mais il est sûr qu’elle sourit.
Dans le jour se cache la belle nuit.
2. BernardNowman le 16-07-2024 à 17:24:11 (site)
c toujours magnifique mon amour (l)
je t'aimeeeeee (l) my always love d'amour (l) à moi
1. gladys-lemire le 15-07-2024 à 17:40:09 (site)
Das Echo unseres Schweigens
2. gladys-lemire le 15-07-2024 à 17:43:31 (site)
poeme
We will send each other hearts
To fill our solitudes
And colorful tulips
As we are no longer used to
We will warm our souls
Long abandoned
We will award ourselves Palmes
For each of our qualities
In the sky-blue desert
Our suffering smiles
Will fill more beautifully
The echo of our silences
3. BernardNowman le 16-07-2024 à 12:01:25 (site)
magnifique article et poème mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
4. gladys-lemire le 16-07-2024 à 12:43:10 (site)
merci mon ti nhomme damour to me (l)
Commentaires
1. gladys-lemire le 20-07-2024 à 16:06:29 (site)
poéme
If the sound of the bell is sad, it is much sadder
Winter, when night comes and when it’s the Angelus
Which rings heavily at the village bell tower,
Punctuated by the sobbing of the sea on the beach.
In hearts its mournful echo resounds:
The one who stays thinks of the one who left
On his boat among the mist and the storm,
And wonders, near the spinning wheel that stops,
If there, in the waves, his man, the sailor,
Like her, she heard the blows of the grave brass,
And if, despite the terrible blade that grumbles,
He remembered to cross himself like her.
Having rung the bell and said the prayers,
The two old men were going to return to their homes
And said goodbye on the threshold of the church,
When they saw, lying on a gray stone,
Something white that had been left there;
And, having both approached, it seemed to them
That it stirred vaguely. The old priest,
Worried, quickly leaned over and was able to recognize
That it was a poor being barely swaddled,
A child that a horrible mother had thrown away,
Enjoying the confident sleep of childhood,
Passing by, in this corner, almost naked, defenseless,
Like a weary traveler casts his burden far away.
2. gladys-lemire le 20-07-2024 à 16:07:17 (site)
3. BernardNowman le 20-07-2024 à 16:16:56 (site)
magnifique article est poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme always d'amour (l) à moi