1. gladys-lemire le 14-12-2024 à 13:52:13 (site)
Nice post
2. gladys-lemire le 14-12-2024 à 13:56:29 (site)
Poème
Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire,
Tu es partie trop vite et sans me prévenir…
Immense est mon regret. Je voudrais te le dire
Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs.
Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence
Sans cesse je remue de précieux souvenirs.
Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance
Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs.
Mes plus tendres pensées vont vers toi dès l’aurore,
Je t’appelle et te parle avant de m’endormir,
Et bien étrangement ta voix me berce encore
Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs.
3. BernardNowman le 14-12-2024 à 14:09:30 (site)
magnifique article mon amour (l) et il est joliii le poéme
je t'aimeeeeeeeeeeee 'l) ma ptite femme d'amour always adorée (l) à moi
1. gladys-lemire le 13-12-2024 à 14:34:43 (site)
très joli imags (l)
2. BernardNowman le 13-12-2024 à 14:49:52 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeeee (l)ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 12-12-2024 à 13:27:33 (site)
très joli imag (l)
2. BernardNowman le 12-12-2024 à 13:38:56 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour (l) à moi
3. gladys-lemire le 12-12-2024 à 13:45:06 (site)
Poème
Elles ont des cheveux pâles comme la lune,
Et leurs yeux sans amour s’ouvrent pâles et bleus,
Leurs yeux que la couleur de l’aurore importune.
Elles ont des regards pâles comme la lune,
Qui semblent refléter les astres nébuleux.
Leurs paupières d’argent, qu’un baiser importune,
Recèlent des rayons langoureusement bleus.
Elles viennent charmer leur âme solitaire,
Dans le recueillement des sombres chastetés,
De l’haleine des cieux, des souffles de la terre.
Nul parfum n’a troublé leur âme solitaire.
L’ivoire des hivers, la pourpre des étés
Ne les effleurent point des reflets de la terre :
Elles gardent l’amour des sombres chastetés.
Leur robe a la lourdeur du linceul qu’on déploie,
Blanche sous le regard nocturne des hiboux,
Et leur sourire éteint la caresse et la joie.
Leur robe a la lourdeur du linceul qu’on déploie.
Elles penchent leur front et leurs gestes très doux
Sur les agonisants du songe et de la joie
Qui râlent sous les yeux nocturnes des hiboux.
4. BernardNowman le 12-12-2024 à 13:58:38 (site)
il est joliiiii ossi le poéme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l)
Commentaires
1. gladys-lemire le 17-12-2024 à 13:15:09 (site)
POEME
La paille était bien belle
et jaune comme l’été
au dessus, une pelle
qui n’avait pas creusé
J’étais toute à l’abri
sous ce toit de campagne
et regardais la pluie
tomber du ciel d’Espagne
Allongée sur ce banc
de bois, terre de Sienne
je m’en allais rêvant
j’étais une italienne
Mes cheveux étaient noir
mon corps pur comme l’eau
mes pieds posés sur l’or
et mes yeux un ruisseau
J’étais ce jour de pluie
comme je ne serai jamais plus
2. BernardNowman le 17-12-2024 à 13:35:07 (site)
magnifique article mon amour (l) et joliii le poeme
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi