VEF Blog
Titre du blog :
Création
Auteur :
Gladys1
Date de création :
01-09-2023
posté le 12-12-2024 à 13:09:50
VARIENCE
Commentaires
BernardNowman
le 12-12-2024 à 13:58:38
il est joliiiii ossi le poéme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l)
gladys-lemire
le 12-12-2024 à 13:45:06
Poème
Elles ont des cheveux pâles comme la lune,
Et leurs yeux sans amour s’ouvrent pâles et bleus,
Leurs yeux que la couleur de l’aurore importune.
Elles ont des regards pâles comme la lune,
Qui semblent refléter les astres nébuleux.
Leurs paupières d’argent, qu’un baiser importune,
Recèlent des rayons langoureusement bleus.
Elles viennent charmer leur âme solitaire,
Dans le recueillement des sombres chastetés,
De l’haleine des cieux, des souffles de la terre.
Nul parfum n’a troublé leur âme solitaire.
L’ivoire des hivers, la pourpre des étés
Ne les effleurent point des reflets de la terre :
Elles gardent l’amour des sombres chastetés.
Leur robe a la lourdeur du linceul qu’on déploie,
Blanche sous le regard nocturne des hiboux,
Et leur sourire éteint la caresse et la joie.
Leur robe a la lourdeur du linceul qu’on déploie.
Elles penchent leur front et leurs gestes très doux
Sur les agonisants du songe et de la joie
Qui râlent sous les yeux nocturnes des hiboux.
BernardNowman
le 12-12-2024 à 13:38:56
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour (l) à moi
gladys-lemire
le 12-12-2024 à 13:27:33
très joli imag (l)
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Commentaires
il est joliiiii ossi le poéme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l)
Poème
Elles ont des cheveux pâles comme la lune,
Et leurs yeux sans amour s’ouvrent pâles et bleus,
Leurs yeux que la couleur de l’aurore importune.
Elles ont des regards pâles comme la lune,
Qui semblent refléter les astres nébuleux.
Leurs paupières d’argent, qu’un baiser importune,
Recèlent des rayons langoureusement bleus.
Elles viennent charmer leur âme solitaire,
Dans le recueillement des sombres chastetés,
De l’haleine des cieux, des souffles de la terre.
Nul parfum n’a troublé leur âme solitaire.
L’ivoire des hivers, la pourpre des étés
Ne les effleurent point des reflets de la terre :
Elles gardent l’amour des sombres chastetés.
Leur robe a la lourdeur du linceul qu’on déploie,
Blanche sous le regard nocturne des hiboux,
Et leur sourire éteint la caresse et la joie.
Leur robe a la lourdeur du linceul qu’on déploie.
Elles penchent leur front et leurs gestes très doux
Sur les agonisants du songe et de la joie
Qui râlent sous les yeux nocturnes des hiboux.
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour (l) à moi
très joli imag (l)