1. gladys-lemire le 10-12-2024 à 13:58:09 (site)
poème
Au vent joyeux de la bonne nouvelle
L’étable s’ouvre; et sa merveille est telle
Que les naïfs bergers en sont troublés.
Illuminant la crèche sombre encore,
L’Enfant paraît en un orbe d’aurore,
Plus blond que l’or des méteils et des blés.
Tout reluit sous l’humble chaume en ruine;
Tout y rutile. Ô nuits de Palestine,
De vos ciels d’aube pâle, est-ce un reflet?
Lune magique, est-ce ton sortilège?
Est-ce l’éclat de ta blancheur de neige?
Est-ce ton charme, ô bel enfantelet?
Un homme est là, grave comme en un temple;
Hiératique, il admire, il contemple,
Ne sachant plus que bénir à genoux.
Dans son long voile et dans sa blanche robe,
Pudique et belle, aux regards se dérobe
Une humble femme au profil triste et doux.
Couple candide, ils restent sans parole,
Le front ceint d’une opaline auréole,
Navrés d’amour et de ravissement.
Le père exulte, et la mère soupire;
Tendre, elle fait effort pour lui sourire,
Mais son sourire expire tristement.
2. BernardNowman le 10-12-2024 à 14:14:43 (site)
magnifique article mon amour (l) et joliii le poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
3. gladys-lemire le 10-12-2024 à 14:21:05 (site)
ya joli article et poeme
jtaime mon ti nhomme to me (l)
1. gladys-lemire le 09-12-2024 à 12:55:57 (site)
très joli création
2. gladys-lemire le 09-12-2024 à 12:59:49 (site)
Poème
Poème
A ce Printemps perdu
où nous nous sommes aimés
au bord de la rivière
un jour du mois de Mai
A ce Printemps perdu
où l’on sent le bonheur
quitter cette espérance
qu’on laisse et ne voit plus
A ce Printemps perdu
et à la renaissance
d’une passion si belle
Vie qui n’existe plus
A ce Printemps perdu
et aux charmants oiseaux
et à ces chants d’idylles
belles, mises à nu
A ce Printemps perdu
Comme un beau violon
aux cordes abimées
Qu’on n’entendra plus jamais
A ce Printemps perdu
et à ces vieilles pierres
un jour au coeur des vignes
qui ne seront plus là
3. BernardNowman le 09-12-2024 à 13:10:53 (site)
magnifique article mon amour (l) et joliii poeme
je t'aimeeeeeeeeeeeeee (l) ma ptite feme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 08-12-2024 à 13:18:04 (site)
poeme
Les genêts, doucement balancés par la brise,
Sur les vastes plateaux font une boule d’or ;
Et tandis que le pâtre à leur ombre s’endort,
Son troupeau va broutant cette fleur qui le grise ;
Cette fleur qui le fait rêver d’amour, le soir,
Quand il roule du haut des monts vers les étables,
Et qu’il croise en chemin les grands boeufs vénérables
Dont les doux beuglements appellent l’abreuvoir ;
cette fleur toute d’or, de lumière et de soie,
En papillons posée au bout des brins menus,
Et dont les lourds parfums semblent être venus
De la plage lointaine où le soleil se noie…
Certes, j’aime les prés où chantent les grillons,
Et la vigne pendue aux flancs de la colline,
Et les champs de bleuets sur qui le blé s’incline,
Comme sur des yeux bleus tombent des cheveux blonds.
Mais je préfère aux prés fleuris, aux grasses plaines,
Aux coteaux où la vigne étend ses pampres verts,
Les sauvages sommets de genêts recouverts,
Qui font au vent d’été de si fauves haleines.
2. gladys-lemire le 08-12-2024 à 13:19:36 (site)
très joli images
3. gladys-lemire le 08-12-2024 à 13:21:31 (site)
Bon dimanche a tous
4. BernardNowman le 08-12-2024 à 13:36:21 (site)
magnifique article et joliii poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. BernardNowman le 06-12-2024 à 14:27:04 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
2. gladys-lemire le 06-12-2024 à 16:45:53 (site)
poème
De l’aile effleurant mon visage,
Volez, doux oiseaux de passage,
Volez sans peur tout près de moi !
Avec amour je vous salue ;
Descendez du haut de la nue,
Volez, et n’ayez nul effroi !
Des mois d’or aux heures légères,
Venez, rapides messagères,
Venez, mes sœurs, je vous attends !
Comme vous je hais la froidure,
Comme vous j’aime la verdure,
Comme vous j’aime le printemps !
Vous qui des pays de l’aurore
Nous arrivez tièdes encore,
Dites, les froids vont donc finir !
Ah ! contez-nous de jeunes choses,
Parlez-nous de nids et de roses,
Parlez-nous d’un doux avenir !
Parlez-moi de soleil et d’ondes,
D’épis flottants, de plaines blondes,
De jours dorés, d’horizons verts ;
De la terre enfin réveillée,
Qui se mourait froide et mouillée
Sous le dais brumeux des hivers.
3. BernardNowman le 06-12-2024 à 17:10:28 (site)
magnifique poeme mon amour (l) je t'aimeeeeeeeeee (l)
Commentaires
1. gladys-lemire le 11-12-2024 à 13:07:51 (site)
très joli article
2. gladys-lemire le 11-12-2024 à 13:17:53 (site)
texte poème
“The Lady of Shalott” est un autre long poème narratif, cette fois situé dans le mythe médiéval du roi Arthur. Pas traditionnellement considéré comme de la littérature gothique, le poème est néanmoins assez sombre et se concentre sur le thème macabre mais courant de la belle femme morte. L’histoire racontée dans le poème est comme une version plus sombre de Raiponce. Une belle femme est enfermée dans une tour et elle voit un bel homme—Sir Lancelot—à l’extérieur de sa fenêtre. Contrairement à Raiponce, la pauvre Dame de Shalott n’est pas sauvée par son prince, alors elle doit essayer de se sauver elle-même. Malgré la prophétie disant qu’elle mourra sûrement dans la tentative, la Dame ne peut plus supporter sa prison et tente de s’échapper. Comme prévu, cela ne se termine pas bien pour elle, et le poème se termine avec Sir Lancelot commentant morbidement la beauté de la Dame alors qu’il voit son cadavre flotter.
3. BernardNowman le 11-12-2024 à 13:38:56 (site)
magnifique article mon amour (l) et jolii le poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour (l) à moi
4. BernardNowman le 11-12-2024 à 13:51:12 (site)
ma ptite femme d'amour always (l) à moi
mon amour adorée (l)
chaque instant passé avec toi
est comme une douce mélodie
qui me fait vibré de l'intérieur
et me remplit de bonheur et de passion
je t'aimeeeeeeeeeee (l) my always love d'amour (l) à moi