VEF Blog
Titre du blog :
Création
Auteur :
Gladys1
Date de création :
01-09-2023
posté le 29-11-2024 à 14:31:28
I DON'T DO WINTERS
Commentaires
gladys-lemire
le 29-11-2024 à 21:17:28
In your eyes I see an endless world
Where we are alone and together
You are the sun of my universe
And your love carried me away like a feather in the wind
love you my love
BernardNowman
le 29-11-2024 à 15:36:02
magnifique article mon amour (l) et jolii poeme
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
gladys-lemire
le 29-11-2024 à 15:32:16
pO7ME
Le vent ne beigne plus ma tête nue
Depuis que le vent n’existe plus,
Je ne ferai plus de ta boue de l’or
Depuis que la terre usée, épuisée
Désespérée à disparue de l’aurore,
Je ne cueillerai pas non plus la rose fleure
Que l’abeille jadis butinait
Jusque dans les Abysses
D’Honfleur et d’ailleurs
Une blonde lumière
Arrose la nature
Qui n’est plus,
Qu’une pluie
Une semence de larmes
Une neige de pleure
Et les mains vertes
Pourrissent
Et les jaunes soleils
Rougissent
Dans l’air peuplé de nuits blanches
Passée à jardiner leur matière grise
Au crépuscule lent, humide
Qui fait perler la mousse
Sur des visages qu’on ne voit plus
Aux larmes de rasoirs
Éclairée par la blonde lumière
Qui ramassent les feuilles d’argent
Pour vendre à prix d’or
Une mort à crédit
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In your eyes I see an endless world
Where we are alone and together
You are the sun of my universe
And your love carried me away like a feather in the wind
love you my love
magnifique article mon amour (l) et jolii poeme
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
pO7ME
Le vent ne beigne plus ma tête nue
Depuis que le vent n’existe plus,
Je ne ferai plus de ta boue de l’or
Depuis que la terre usée, épuisée
Désespérée à disparue de l’aurore,
Je ne cueillerai pas non plus la rose fleure
Que l’abeille jadis butinait
Jusque dans les Abysses
D’Honfleur et d’ailleurs
Une blonde lumière
Arrose la nature
Qui n’est plus,
Qu’une pluie
Une semence de larmes
Une neige de pleure
Et les mains vertes
Pourrissent
Et les jaunes soleils
Rougissent
Dans l’air peuplé de nuits blanches
Passée à jardiner leur matière grise
Au crépuscule lent, humide
Qui fait perler la mousse
Sur des visages qu’on ne voit plus
Aux larmes de rasoirs
Éclairée par la blonde lumière
Qui ramassent les feuilles d’argent
Pour vendre à prix d’or
Une mort à crédit