Titre du blog : Création Auteur : Gladys1 Date de création : 01-09-2023
posté le 26-11-2024 à 15:51:01
GOTIK ROMANTIK
Commentaires
Au-Plaisir-Secretle 28-11-2024 à 15:26:02 Bonjour Gladys, en ce jeudi éclatant,
Je te souhaite un après-midi apaisant.
Que chaque minute soit un murmure de joie,
L'heure approche pour te dire avec émoi,
Bonne soirée et douce nuit sereine,
Que tes rêves soient tendres, comme une laine.
Que la nuit te berce dans ses bras tranquilles,
Et que tes rêves soient doux et subtils.
bisous.
bernardnowmanle 26-11-2024 à 16:26:26 magnifique article mon amour (l) et jolii le poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
gladys-lemirele 26-11-2024 à 15:57:33 poeme
J'allais solitaire, ainsi qu'un nuage Qui plane au dessus des vaux et des monts. Quand soudain, je vis, en foule, Des jonquilles d'or, une légion, A côté du lac, sous les branches grises, Flottant et dansant, gaiement à la brise.
Serrées comme sont au ciel les étoiles Qu'on voit scintiller sur la voie lactée, Elles s'étendaient, sans un intervalle, Le long du rivage, au creux d'une baie. J'en vis d'un coup d’œil des milliers, je pense, Agitant la tête, en leur folle danse.
Les vagues dansaient pleines d'étincelles Mais elles dansaient plus allègrement. Pouvais-je rester, poète, auprès d'elles, Sans être gagé par leur enjouement ? L’œil fixe, ébloui, je ne songeais guère Au riche présent qui m'était offert.
Car si je repose, absent ou songeur, Souvent leur vision, Ô béatitude ! Vient illuminer l’œil intérieur Qui fait le bonheur de la solitude. Et mon cœur alors, débordant, pétille De plaisir, et danse avec les jonquilles.
Commentaires
Bonjour Gladys, en ce jeudi éclatant,
Je te souhaite un après-midi apaisant.
Que chaque minute soit un murmure de joie,
L'heure approche pour te dire avec émoi,
Bonne soirée et douce nuit sereine,
Que tes rêves soient tendres, comme une laine.
Que la nuit te berce dans ses bras tranquilles,
Et que tes rêves soient doux et subtils.
bisous.
magnifique article mon amour (l) et jolii le poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
poeme
J'allais solitaire, ainsi qu'un nuage Qui plane au dessus des vaux et des monts. Quand soudain, je vis, en foule, Des jonquilles d'or, une légion, A côté du lac, sous les branches grises, Flottant et dansant, gaiement à la brise.
Serrées comme sont au ciel les étoiles Qu'on voit scintiller sur la voie lactée, Elles s'étendaient, sans un intervalle, Le long du rivage, au creux d'une baie. J'en vis d'un coup d’œil des milliers, je pense, Agitant la tête, en leur folle danse.
Les vagues dansaient pleines d'étincelles Mais elles dansaient plus allègrement. Pouvais-je rester, poète, auprès d'elles, Sans être gagé par leur enjouement ? L’œil fixe, ébloui, je ne songeais guère Au riche présent qui m'était offert.
Car si je repose, absent ou songeur, Souvent leur vision, Ô béatitude ! Vient illuminer l’œil intérieur Qui fait le bonheur de la solitude. Et mon cœur alors, débordant, pétille De plaisir, et danse avec les jonquilles.