VEF Blog
Titre du blog :
Création
Auteur :
Gladys1
Date de création :
01-09-2023
posté le 15-11-2024 à 12:29:23
Historie OR
Commentaires
Au-Plaisir-Secret
le 15-11-2024 à 13:06:04
Bonjour Gladys,
Le vendredi est la promesse d'un week-end rempli de possibilités.’
Puisses-tu savourer chaque moment de cette journée avec joie et sérénité
Que cette journée soit le prélude à un merveilleux week-end. Passe une très belle journée !
Avec toute mon affection, bisous.
bernardnowman
le 15-11-2024 à 13:00:34
magnifique article joli le poeme ossi mon amour (l)
j t'aimeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
gladys-lemire
le 15-11-2024 à 12:56:48
Poème
La rivière s’écoule avec lenteur. Ses eaux
Murmurent, près du bord, aux souches des vieux aulnes
Qui se teignent de sang ; de hauts peupliers jaunes
Sèment leurs feuilles d’or parmi les blonds roseaux.
Le vent léger, qui croise en mobiles réseaux
Ses rides d’argent clair, laisse de sombres zones
Où les arbres, plongeant leurs dômes et leurs cônes,
Tremblent, comme agités par des milliers d’oiseaux.
Par instants se répète un cri grêle de grive,
Et, lancé brusquement des herbes de la rive,
Etincelle un joyau dans l’air limpide et bleu ;
Un chant aigu prolonge une note stridente ;
C’est le martin-pêcheur qui fuit d’une aile ardente
Dans un furtif rayon d’émeraude et de feu.
gladys-lemire
le 15-11-2024 à 12:31:28
joli créats
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Commentaires
Bonjour Gladys,
Le vendredi est la promesse d'un week-end rempli de possibilités.’
Puisses-tu savourer chaque moment de cette journée avec joie et sérénité
Que cette journée soit le prélude à un merveilleux week-end. Passe une très belle journée !
Avec toute mon affection, bisous.
magnifique article joli le poeme ossi mon amour (l)
j t'aimeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Poème
La rivière s’écoule avec lenteur. Ses eaux
Murmurent, près du bord, aux souches des vieux aulnes
Qui se teignent de sang ; de hauts peupliers jaunes
Sèment leurs feuilles d’or parmi les blonds roseaux.
Le vent léger, qui croise en mobiles réseaux
Ses rides d’argent clair, laisse de sombres zones
Où les arbres, plongeant leurs dômes et leurs cônes,
Tremblent, comme agités par des milliers d’oiseaux.
Par instants se répète un cri grêle de grive,
Et, lancé brusquement des herbes de la rive,
Etincelle un joyau dans l’air limpide et bleu ;
Un chant aigu prolonge une note stridente ;
C’est le martin-pêcheur qui fuit d’une aile ardente
Dans un furtif rayon d’émeraude et de feu.
joli créats