VEF Blog
Titre du blog :
Création
Auteur :
Gladys1
Date de création :
01-09-2023
posté le 13-07-2024 à 12:42:06
A LA CAMPAGNE ET LA MER
Commentaires
gladys-lemire
le 13-07-2024 à 13:39:58
Merci cé gentil jtaime mon always to me
BernardNowman
le 13-07-2024 à 13:20:30
magnifique article et poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour always (l) à moi
gladys-lemire
le 13-07-2024 à 13:18:16
poeme
Près des ruisseaux, près des cascades,
Dans les champs d’oliviers fleuris,
Sur les rochers, sous les arcades
Dont le temps sape les débris,
Sous les murs du vieux monastère.
Dans le bois qu’aime le mystère,
Sous l’ombre du pin solitaire,
Sous le platane aux frais abris ;
A l’heure où, sous l’humble chaumière.
Le chevrier prend son repas,
A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.
Lorsque les cloches argentines
Réveillent l’oiseau dans son nid,
C’est moi qui te suis à matines :
Et quand la prière finit.
Au sortir du temple gothique,
C’est moi qui vais sous le portique
T’offrir, suivant l’usage antique.
L’eau sainte et le rameau bénit.
Menu impression
Montrer les commentaires
Cacher les commentaires
Imprimer
Retour au blog
Commentaires
Merci cé gentil jtaime mon always to me
magnifique article et poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour always (l) à moi
poeme
Près des ruisseaux, près des cascades,
Dans les champs d’oliviers fleuris,
Sur les rochers, sous les arcades
Dont le temps sape les débris,
Sous les murs du vieux monastère.
Dans le bois qu’aime le mystère,
Sous l’ombre du pin solitaire,
Sous le platane aux frais abris ;
A l’heure où, sous l’humble chaumière.
Le chevrier prend son repas,
A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.
Lorsque les cloches argentines
Réveillent l’oiseau dans son nid,
C’est moi qui te suis à matines :
Et quand la prière finit.
Au sortir du temple gothique,
C’est moi qui vais sous le portique
T’offrir, suivant l’usage antique.
L’eau sainte et le rameau bénit.