Miraculeux printemps dont l’automne est si triste,
Le plus beau sentiment, non, ce n’est pas l’amour ;
Pas l’amour faible et fou, l’amour aveugle et sourd,
Fermant autour de lui sa guirlande égoïste.
Ce n’est pas le respect aux bagues d’améthyste ;
Ni le rêve, laissant ses longs cheveux flotter ;
Ni l’amitié, qui veut la réciprocité,
Ni l’estime, tenant son implacable liste.
Mais Tendresse, c’est toi ! toi, que rien ne ternit.
C’est toi. Tu prends à tous le bouquet de tes charmes ;
L’amour te donne une âme et l’amitié des larmes ;
Tu rajeunis l’instant pour qu’il soit infini…
Et, dans cet instant-là, le cœur, à ce point tremble,
Qu’il sait rire et pleurer et mourir tout ensemble
Commentaires
joli blog..
Wundervoller Frühling, dessen Herbst so traurig ist,
Das schönste Gefühl, nein, es ist keine Liebe;
Nicht schwache und verrückte Liebe, blinde und taube Liebe,
Er schließt seine selbstsüchtige Girlande um sich.
Zärtlichkeit
Dies bezieht sich nicht auf Amethystringe;
Auch nicht der Traum, ihr langes Haar schweben zu lassen;
Auch keine Freundschaft, die Gegenseitigkeit will,
Ich schätze ihn auch nicht und halte seine unerbittliche Liste aufrecht.
Zärtlichkeit
Aber Zärtlichkeit bist du! Du, lass nichts trüben.
Du bist es. Du nimmst von jedem den Strauß deiner Reize;
Liebe gibt dir eine Seele und Freundschaftstränen;
Zärtlichkeit
Du verjüngst den Moment, so dass er unendlich ist ...
Und in diesem Moment zittert das Herz so sehr,
Dass er weiß, wie man lacht, weint und gleichzeitig stirbt
Tendresse
Miraculeux printemps dont l’automne est si triste,
Le plus beau sentiment, non, ce n’est pas l’amour ;
Pas l’amour faible et fou, l’amour aveugle et sourd,
Fermant autour de lui sa guirlande égoïste.
Tendresse
Ce n’est pas le respect aux bagues d’améthyste ;
Ni le rêve, laissant ses longs cheveux flotter ;
Ni l’amitié, qui veut la réciprocité,
Ni l’estime, tenant son implacable liste.
Tendresse
Mais Tendresse, c’est toi ! toi, que rien ne ternit.
C’est toi. Tu prends à tous le bouquet de tes charmes ;
L’amour te donne une âme et l’amitié des larmes ;
Tendresse
Tu rajeunis l’instant pour qu’il soit infini…
Et, dans cet instant-là, le cœur, à ce point tremble,
Qu’il sait rire et pleurer et mourir tout ensemble
Tendresse