1. BernardNowman le 21-09-2024 à 16:49:20 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
2. gladys-lemire le 21-09-2024 à 18:41:14 (site)
ya joli imag mon bb (l)
1. gladys-lemire le 19-09-2024 à 17:27:38 (site)
Poéme
Blotti comme un oiseau frileux au fond du nid,
Les yeux sur ton profil, je songe à l’infini…
Immobile sur les coussins brodés, j’évoque
L’enchantement ancien, la radieuse époque,
Et les rêves au ciel de tes yeux verts baignés !
Et je revis, parmi les objets imprégnés
De ton parfum intime et cher, l’ancienne année
Celle qui flotte encor dans ta robe fanée…
Je t’aime ingénument. Je t’aime pour te voir.
Ta voix me sonne au coeur comme un chant dans le soir.
Et penché sur ton cou, doux comme les calices,
J’épuise goutte à goutte, en amères délices,
Pendant que mon soleil décroît à l’horizon
Le charme douloureux de l’arrière-saison.
2. BernardNowman le 19-09-2024 à 17:36:07 (site)
magnifique article mon amour (l) et joli poème
je t'aimeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
2. bernardnowman le 17-09-2024 à 16:51:01 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
3. gladys-lemire le 17-09-2024 à 16:53:45 (site)
Poéme
C’est le grand silence de la vie
qui me tinte aux oreilles.
C’est vilain silence qui glapit
rien qu’à lui-même pareil.
C’est bruyant silence de la foule
caquetant tout son saoul.
C’est parfait silence de parlotes
où chacun radote.
Et dans ce guignol
qui ricane
qui rigole
qui me suit
me poursuit
et encore mieux m’isole,
c’est le dur silence de la vie
qui me tinte aux oreilles.
4. bernardnowman le 17-09-2024 à 16:58:34 (site)
jolii poeme mon amour (l)
1. gladys-lemire le 16-09-2024 à 13:11:42 (site)
très jolie images
2. BernardNowman le 16-09-2024 à 17:09:30 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour (l) à moi
Commentaires
1. gladys-lemire le 24-09-2024 à 13:46:21 (site)
tender
2. gladys-lemire le 24-09-2024 à 13:51:26 (site)
Poème
Tu sais l’amour et son ivresse
Tu sais l’amour et ses combats ;
Tu sais une voix qui t’adresse
Ces mots d’ineffable tendresse
Qui ne se disent que tout bas.
Sur un beau sein, ta bouche errante
Enfin a pu se reposer,
Et sur une lèvre mourante
Sentir la douceur enivrante
Que recèle un premier baiser…
Maître de ces biens qu’on envie
Ton cœur est pur, tes jours sont pleins !
Esclave à tes vœux asservie,
La fortune embellit ta vie
Tu sais qu’on t’aime, et tu te plains !
Et tu te plains ! et t’exagères
Ces vagues ennuis d’un moment,
Ces chagrins, ces douleurs légères,
Et ces peines si passagères
Qu’on ne peut souffrir qu’en aimant !
Et tu pleures ! et tu regrettes
Cet épanchement amoureux !
Pourquoi ces maux que tu t’apprêtes ?
Garde ces plaintes indiscrètes
Et ces pleurs pour les malheureux !
Pour moi, de qui l’âme flétrie
N’a jamais reçu de serment,
Comme un exilé sans patrie,
Pour moi, qu’une voix attendrie
N’a jamais nommé doucement,
Personne qui daigne m’entendre,
A mon sort qui saigne s’unir,
Et m’interroge d’un air tendre,
Pourquoi je me suis fait attendre
Un jour tout entier sans venir.
Personne qui me recommande
De ne rester que peu d’instants
Hors du logis ; qui me gourmande
Lorsque je rentre et me demande
Où je suis allé si longtemps.
Jamais d’haleine caressante
Qui, la nuit, vienne m’embaumer ;
Personne dont la main pressante
Cherche la mienne, et dont je sente
Sur mon cœur les bras se fermer !
Une fois pourtant – quatre années
Auraient-elles donc effacé
Ce que ces heures fortunées
D’illusions environnées
Au fond de mon âme ont laissé ?
Oh ! c’est qu’elle était si jolie !
Soit qu’elle ouvrit ses yeux si grands,
Soit que sa paupière affaiblie
Comme un voile qui se déplie
Éteignit ses regards mourants !
– J’osai concevoir l’espérance
Que les destins moins ennemis,
Prenant pitié de ma souffrance,
Viendraient me donner l’assurance
D’un bonheur qu’ils auraient permis :
L’heure que j’avais attendue,
Le bonheur que j’avais rêvé
A fui de mon âme éperdue,
Comme une note suspendue,
Comme un sourire inachevé !
Elle ne s’est point souvenue
Du monde qui ne la vit pas ;
Rien n’a signalé sa venue,
Elle est passée, humble, inconnue,
Sans laisser trace de ses pas.
Depuis lors, triste et monotone,
Chaque jour commence et finit :
Rien ne m’émeut, rien ne m’étonne,
Comme un dernier rayon d’automne
J’aperçois mon front qui jaunit.
Et loin de tous, quand le mystère
De l’avenir s’est refermé,
Je fuis, exilé volontaire !
– Il n’est qu’un bonheur sur la terre,
Celui d’aimer et d’être aimé.
3. BernardNowman le 24-09-2024 à 16:00:03 (site)
magnique article et jolii poème mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour (l) always (l) à moi